L'initiative intitulée (dans un étrange mélange de langues) « Italy open to meraviglia », soit « l'Italie, porte vers l'émerveillement », commence ainsi : “Hi there, everybody. My name is Venus,” the ad’s digitally altered protagonist announced on her Instagram. “But that’s something you probably already know. I’m 30, ok maybe just a wee bit more than that… And I am a virtual influencer. What does that mean? Well, I’ll take you with me on a journey around Italy to visit its most fantastic places and venues.”
La campagne a été lancée sur Youtube le 20 avril, puis sur Instagram, avant d'être supprimée. Dans La Repubblica, le secrétaire à la Culture et critique d'art Vittorio Sgarbi : « Étant donné que Vénus est nue, ça aurait été mieux de la voir comme ça, sans avoir à la transformer de la sorte : c'est du genre de Ferragni » — référence à l'influenceuse Chiara Ferragni.
Et au-delà de la forme, le coût de 9 M€ est vivement critiqué, quand, comme le révèle Il Fatto Quotidiano, nombre d'illustrations proviennent de banques d'images, et que la campagne va jusqu'à inclure des paysages… slovènes.